Revue de presse 2003

Quatuor Opus 29 : le public enchanté. Le quatuor à cordes Opus 29 s’est produit en l’église de Lanildut, dimanche après-midi. Fondé en 1998 par Jean-Philippe Brun, ce quatuor rassemble des jeunes musiciens venus d’horizons divers : Jean-Philippe Brun, 1er violon, Cyril Quémeras, 2nd violon, Cécile Maudire, alto, et Ruth Boronian, au violoncelle.

Interprétations originales et dynamiques. Une centaine de personnes, dont Marguerite Lamour, député-maire et Jean Bars, maire, ont assisté à ce très beau concert. En première partie, Opus 29 a fait découvrir au public un compositeur peu connu, Glazounov. Ce dernier a quitté l’URSS en 1928 pour s’installer à Paris. Le Quatuor Opus 29 a interprété «Les Novelettes», oeuvre qui a permis à chacun d’apprécier tes multiples talents, tant du compositeur que des musiciens. En deuxième partie, les mélomanes présents ont eu l’infini plaisir d’écouter le célèbre quatuor « La Jeune Fille et la Mort » de Schubert. Interprétation originale, extrêmement dynamique, des musiciens, qui ont fait preuve d’une virtuosité hors pair, unanimement appréciée par le public qui s’est levé pour les acclamer. Un très beau moment de pure émotion musicale et des auditeurs ravis, qui, à la sortie de l’église, ont remercié les organisateurs de ce concert, pour le privilège qu’ils avalent eu de recevoir ce quatuor au sein de leur église. Ils ont manifesté le vœu de voir de tels concerts se renouveler. (Le Télégramme, 16/12/2003)

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Moëllien : le Quatuor Opus 29 en concert. Le manoir de Moëllien accueillait vendredi un concert en partenariat avec l’association des concerts d’Amour de Quimper Près d’une quarantaine de mélomanes etaient venus dans le cadre prestigieux du manoir. Les musiciens, qui sont tous professeurs ce musique en conservatoire, forment le quatuor Opus 29 avec deux violons (J.-P. Brun et C Lentz), un alto (C.Maudire} et un violoncelle (R. Boranian). Pour ce nouveau concert dans les murs de Moëllien. Ils avaient choisi d’interpréter deux oeuvres, l’une d’Alexandre Glazounovet l’autre de Franz Schubert. La première, l’opus 56, est une musique de détente et a été écrite pour valoriser différents styles nationaux. La seconde est une oeuvre dramatique qui fut composée en 1924, dont la musique fut reprise pour un film de Roman Polanski. (Le Télégramme, 19/06/2003)

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